samedi 24 juin 2017

Josip Le Gall, Homme. 55 ans.

J'ai mérité de recevoir une bonne fessée

Pour me contacter josip.legall@laposte.net
J’habite en Bretagne dans la région de Rennes

J’ai remarqué, à plusieurs reprises, des relâchements dans mes attitudes quotidiennes. Je manque souvent de volonté pour remédier à ces facilités que je m’accorde. Il me semble qu’alors, la certitude de recevoir la fessée, sans pouvoir m’y soustraire, permettrait de corriger ces laisser-aller.

J’accepterais donc de confier, durant une soirée pour commencer, la légitimité de me punir à une main féminine dont la volonté éducative serait la motivation principale, dans un rapport adulte – enfant consenti, mais, une fois décidé, géré et imposé par la personne qui aura accepté de le prendre en charge.

La fessée et moi
La fessée est une punition. Elle doit sanctionner des comportements répréhensibles, surtout quand ce sont des adultes qui se laissent aller à commettre des bêtises, à désobéir ou à adopter des attitudes infantiles. La fessée, quand elle est assez sévère, permet de remettre le contrevenant dans le droit chemin.
Une fois établi le rapport d’autorité passant par l’acceptation de l’un à recevoir les punitions décidées par l’autre et, par l’autre, du droit et du devoir de corriger le premier quand il l’a mérité, la fessée doit être le mode de sanction indiscutable et indiscuté.
Elle doit être administrée la culotte baissée et sa sévérité doit être proportionnelle à la faute qui l’a engendrée.

Il peut être nécessaire d’en renforcer l’effectivité par l’utilisation d’instruments punitifs : martinet, règle, ceinture, baguette souple, orties … en veillant, toutefois, à ne pas blesser le puni.
Des fesses abondamment rougies, portant quelques marques dans les cas les plus graves, devront être la résultante d’une correction aboutie.

La mise au coin ou au piquet conclura de façon adéquate l’administration d’une fessée.
Elle permettra au puni de prendre le temps de réfléchir aux conséquences de ses actes, ce qui n'est pas toujours possible durant le temps d'administration de la fessée elle-même. La douleur ressentie mobilisant souvent toute l'énergie de celui à qui elle est infligée.
L'humilité que requière la position alors imposée par la correctrice, est un signe supplémentaire de la contrition que doit marquer celui ou celle qui vient d'être fessé. Exposer, à tous ceux qui sont présents, ses fesses nues portant les marques du récent châtiment, alors que l'activité normale reprend ses droits, est un complément utile à la fessée.
Il va de soi que la durée de la mise en pénitence sera décidée par la personne ayant administré la fessée. Le silence et l'immobilité seront requis.

La fessée est la punition parfaitement adaptée au cadre domestique. Elle peut, cependant, se révéler tout à fait pertinente en situation professionnelle. 
Les responsables hiérarchiques, voire parfois des collègues, devront recourir à des méthodes éprouvées quand la motivation au travail ou la qualité de ce qui est produit ne sont pas à la hauteur des attentes.
Comme dans le cadre domestique, la fessée peut se révéler l'outil indispensable pour maintenir une discipline propre à un travail soigné. Cela permet de régler bien des situations qui, sans intervention prompte et décidée, pourraient être source de moins grande productivité professionnelle/
Il sera, bien entendu préférable de sanctionner une faute professionnelle par une bonne fessée réglant la question sur le champ, plutôt que de se lancer dans les procédures prévues par le code du travail, rendant aléatoire la prise de conscience des manquements professionnels.

La personne détenant l’autorité en déterminera, de son propre chef, les conditions : la rigueur, le moment, le lieu …, ce qui peut signifier administrer une fessée dans un lieu public ou en présence de témoins.
Cela ne saurait, en aucun cas être un motif suffisant pour différer une punition.
Quand une correction est méritée, il est important, pour porter ses fruits, qu’elle soit administrée au plus près de l’écart qui l’a motivée. La pudeur n’est alors plus de mise.
Son administration pourra être déléguée à une tierce personne soit de façon occasionnelle, soit de façon permanente.

Il appartient à la personne constatant des manquements réguliers, des caprices ou des colères répétés, sans que des rappels à l’ordre oraux suffisent à les éradiquer, de prendre l’initiative de l’administration de la fessée.
Dans ces situations, l’avis du récipiendaire doit être ignoré. Il est rare que la perspective d’une fessée punitive entraîne l’enthousiasme à court terme de son futur destinataire.
Celui-ci trouvera certainement avantage, dans la durée, à ce qu’une autre personne lui accorde suffisamment d’importance pour prendre le temps et l’énergie de le corriger pour parfaire son éducation.
L’obéissance deviendra la règle, toute faute ou infraction sera sanctionnée au plus vite au plus grand bien des deux parties.

Ce rôle revient naturellement à la gent féminine souvent plus mature, plus raisonnable, et plus encline à se préoccuper des questions d’éducation. Alors que les conjointes, les supérieures hiérarchiques, les collègues féminines, les amies proches sont souvent exaspérées par les comportements irresponsables et égocentriques de certains de leurs proches, elles hésitent trop souvent à adopter la méthode radicale, mais qui a fait ses preuves : déculotter le contrevenant, homme ou femme et quel que soit son âge, et le fesser suffisamment rigoureusement pour que le souvenir de l’événement dissuade toute récidive.

Il peut cependant arriver que, placé sous l'autorité d'une parente, d'une gouvernante ou d'une compagne exerçant régulièrement son droit et son devoir de punition, elle délègue à un homme l'administration d'une fessée. 
Il ne serait alors pas possible, sous peine de désobéissance et des conséquences évidentes qu'elle provoquerait, de se soustraire à une correction masculine.

Ces fessées, de type parental, doivent rappeler au grand garçon ou à la grande fille, le temps où ils étaient soumis à l’autorité de grandes personnes.
Il est donc préférable de placer le puni dans une position disciplinaire où ils seront maintenus en place par la personne en charge de les fesser : allongé à plat ventre en travers des genoux, à genoux entre les jambes et incliné sur une cuisse de sa correctrice, debout ou à genoux courbé sous le bras.
Ainsi, les fesses seront parfaitement à disposition de la main qui pourra les rougir aussi copieusement que nécessaire.

Les cris, les pleurs, les supplications et les promesses d’amendement seront autant de signes de l’efficacité de la fessée. Les gesticulations désordonnées des jambes seront inévitables, surtout en cas de fessées sévères. Elles ne devront, toutefois, pas gêner l’administration de la punition, sauf à être considérées comme une désobéissance qu'il serait alors nécessaire de sanctionner.
Il ne sera pas toléré que le puni fasse obstacle à sa correction, que ce soit en interposant sa main ou ses jambes, ou en tentant de s’échapper. Toute tentative allant dans ce sens devra être sanctionnée par une autre fessée, encore plus rigoureuse que la première.

1 commentaire:

  1. Les règlements par de bonnes fessées remettrais beaucoup de personnes dans un recadrement et dans tout les domaines sans préavis sur le champs ça n a jamais fait de mal au contraire

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