J’accepterais
donc de confier, durant une soirée pour commencer, la légitimité de me punir à une main féminine dont la volonté
éducative serait la motivation principale, dans un rapport adulte – enfant
consenti, mais, une fois décidé, géré et imposé par la personne qui aura accepté de le prendre en
charge.
La fessée et moi
La fessée est une punition. Elle doit sanctionner des comportements
répréhensibles, surtout quand ce sont des adultes qui se laissent aller à
commettre des bêtises, à désobéir ou à adopter des attitudes infantiles. La fessée, quand elle est assez sévère,
permet de remettre le contrevenant dans le droit chemin.
Une fois établi le rapport d’autorité
passant par l’acceptation de l’un à recevoir les punitions décidées par l’autre
et, par l’autre, du droit et du devoir de corriger le premier quand il l’a
mérité, la fessée doit être le mode de sanction indiscutable et indiscuté.
Elle doit être administrée la culotte
baissée et sa sévérité doit être proportionnelle à la faute qui l’a engendrée.
Il peut être nécessaire d’en renforcer
l’effectivité par l’utilisation d’instruments punitifs : martinet, règle,
ceinture, baguette souple, orties … en veillant, toutefois, à ne pas blesser le
puni.
Des fesses abondamment rougies, portant
quelques marques dans les cas les plus graves, devront être la résultante d’une
correction aboutie.
La mise au coin ou au piquet conclura de
façon adéquate l’administration d’une fessée.
Elle permettra au puni de prendre le
temps de réfléchir aux conséquences de ses actes, ce qui n'est pas toujours
possible durant le temps d'administration de la fessée elle-même. La douleur
ressentie mobilisant souvent toute l'énergie de celui à qui elle est infligée.
L'humilité que requière la position
alors imposée par la correctrice, est un signe supplémentaire de la contrition
que doit marquer celui ou celle qui vient d'être fessé. Exposer, à tous ceux
qui sont présents, ses fesses nues portant les marques du récent châtiment,
alors que l'activité normale reprend ses droits, est un complément utile à la
fessée.
Il va de soi que la durée de la mise en
pénitence sera décidée par la personne ayant administré la fessée. Le silence
et l'immobilité seront requis.
La fessée est la punition parfaitement
adaptée au cadre domestique. Elle peut, cependant, se révéler tout à fait
pertinente en situation professionnelle.
Les responsables hiérarchiques, voire
parfois des collègues, devront recourir à des méthodes éprouvées quand la
motivation au travail ou la qualité de ce qui est produit ne sont pas à la
hauteur des attentes.
Comme dans le cadre domestique, la fessée
peut se révéler l'outil indispensable pour maintenir une discipline propre à un
travail soigné. Cela permet de régler bien des situations qui, sans
intervention prompte et décidée, pourraient être source de moins grande
productivité professionnelle/
Il sera, bien entendu préférable de
sanctionner une faute professionnelle par une bonne fessée réglant la question
sur le champ, plutôt que de se lancer dans les procédures prévues par le code
du travail, rendant aléatoire la prise de conscience des manquements
professionnels.
La personne détenant l’autorité en
déterminera, de son propre chef, les conditions : la rigueur, le moment, le
lieu …, ce qui peut signifier administrer une fessée dans un lieu public ou en
présence de témoins.
Cela ne saurait, en aucun cas être un
motif suffisant pour différer une punition.
Quand une correction est méritée, il est
important, pour porter ses fruits, qu’elle soit administrée au plus près de
l’écart qui l’a motivée. La pudeur n’est alors plus de mise.
Son administration pourra être déléguée à
une tierce personne soit de façon occasionnelle, soit de façon permanente.
Il appartient à la personne constatant des
manquements réguliers, des caprices ou des colères répétés, sans que des
rappels à l’ordre oraux suffisent à les éradiquer, de prendre l’initiative de
l’administration de la fessée.
Dans ces situations, l’avis du
récipiendaire doit être ignoré. Il est rare que la perspective d’une fessée
punitive entraîne l’enthousiasme à court terme de son futur destinataire.
Celui-ci trouvera certainement avantage,
dans la durée, à ce qu’une autre personne lui accorde suffisamment d’importance
pour prendre le temps et l’énergie de le corriger pour parfaire son éducation.
L’obéissance deviendra la règle, toute
faute ou infraction sera sanctionnée au plus vite au plus grand bien des deux
parties.
Ce rôle revient naturellement à la gent
féminine souvent plus mature, plus raisonnable, et plus encline à se préoccuper
des questions d’éducation. Alors que les conjointes, les supérieures
hiérarchiques, les collègues féminines, les amies proches sont souvent
exaspérées par les comportements irresponsables et égocentriques de certains de
leurs proches, elles hésitent trop souvent à adopter la méthode radicale, mais
qui a fait ses preuves : déculotter le contrevenant, homme ou femme et quel que
soit son âge, et le fesser suffisamment rigoureusement pour que le souvenir de
l’événement dissuade toute récidive.
Il peut cependant arriver que, placé
sous l'autorité d'une parente, d'une gouvernante ou d'une compagne
exerçant régulièrement son droit et son devoir de punition, elle délègue à un
homme l'administration d'une fessée.
Il ne serait alors pas
possible, sous peine de désobéissance et des conséquences évidentes qu'elle
provoquerait, de se soustraire à une correction masculine.
Ces fessées, de type parental, doivent
rappeler au grand garçon ou à la grande fille, le temps où ils étaient soumis à
l’autorité de grandes personnes.
Il est donc préférable de placer le
puni dans une position disciplinaire où ils seront maintenus en place par la
personne en charge de les fesser : allongé à plat ventre en travers des genoux,
à genoux entre les jambes et incliné sur une cuisse de sa correctrice, debout
ou à genoux courbé sous le bras.
Ainsi, les fesses seront parfaitement à
disposition de la main qui pourra les rougir aussi copieusement que nécessaire.
Les cris, les pleurs, les supplications et
les promesses d’amendement seront autant de signes de l’efficacité de la
fessée. Les gesticulations désordonnées des jambes seront inévitables, surtout
en cas de fessées sévères. Elles ne devront, toutefois, pas gêner
l’administration de la punition, sauf à être considérées comme une
désobéissance qu'il serait alors nécessaire de sanctionner.
Il ne sera pas toléré que le puni fasse
obstacle à sa correction, que ce soit en interposant sa main ou ses jambes, ou
en tentant de s’échapper. Toute tentative allant dans ce sens devra être
sanctionnée par une autre fessée, encore plus rigoureuse que la première.
Les règlements par de bonnes fessées remettrais beaucoup de personnes dans un recadrement et dans tout les domaines sans préavis sur le champs ça n a jamais fait de mal au contraire
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